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Salut la Team rentable. Ici Yann Darwin.

Je vais en profiter pour introduire la notion d’opportunity cost, qui est une notion finalement comptable utile pour choisir entre 2 opportunités. Comme son nom l’indique, c’est le coût de l’opportunité.

Comment choisir entre 2 opportunités ?

C’est un des critères, y’en a pas qu’un, y’en a d’autres, le risque, etc., qui vont compter, mais le coût d’opportunité est intéressant. Et si tu comprends ça, tu le gardes dans ta tête pour toutes tes décisions au jour le jour, ça sera beaucoup plus simple pour toi, tes investissements, ton business, tes finances personnelles, etc. Alors on va le définir très rapidement, déjà. Donc le coût d’opportunité… « opportunity cost », en anglais, parfois aussi appelé « coût du renoncement ». Ça se comprend très bien. C’est justement le coût que va nous coûter de renoncer à une option.

On va avoir 2 options, on va avoir l’option A. c’est l’option qu’on va choisir, moins l’option B, l’option qu’on ne va pas choisir. Et ce calcul va nous permettre de nous rendre compte de façon chiffrée, en argent, en espèces sonnantes et trébuchantes, combien nous coûte un choix. Parfois, le résultat va être négatif, donc ça nous coûte. Ou combien nous rapporte un choix si le résultat est positif. Ça commence à être plus intéressant. Je te fais un exemple, déjà, pour qu’on comprenne. On va prendre un exemple extrêmement simple avec, par exemple, 2 immeubles. On a 2 immeubles en concurrence, 2 petits immeubles ou 2 appartements, peu importe, à 100 000 euros, OK ? On va faire un exemple simple pour comprendre le concept. Là, on s’en fout du crédit, de la taxe foncière, de la rentabilité, « T’as oublié les impôts », on ne parle pas de ça. On veut comprendre le concept financier.

On a 2 immeubles à 100 000. Y en a un qui va rapporter 12 %, OK ? L’autre, il va rapporter 10 % de rentabilité. Brut, tout ce que tu veux, net, peu importe les chiffres, c’est pareil. Donc celui-là, à l’année, il va nous rapporter 12 000 euros, et celui-là, à l’année, 10 000 euros, OK ? Donc si je choisis d’acheter le 1er immeuble… OK ? Le 1er immeuble me rapporte 12 000 moins le 2e immeuble, option B, 10 000… 12 moins 10 = 2. Donc j’ai un coût d’opportunité positif à + 2 000 euros, OK ? Ça serait plutôt logique. Pas besoin d’avoir fait maths sup pour voir que ça serait logique d’acheter celui-là. Par contre, si je fais l’inverse… Plein de raisons peuvent me pousser à faire l’inverse. Peut-être que lui est mieux placé, peut-être que celui-là est moins risqué en termes de locataires, de gestion locative, qu’il est plus simple, qu’y a moins de travaux, que j’ai une meilleure équipe pour le faire ou il est à un meilleur endroit ou que sur celui-là, j’ai un doute sur de la mérule, peu importe.

Plein de choses peuvent m’amener à penser que celui-là peut être une bonne solution, même si maintenant, il rapporte un peu moins. Donc si j’inverse les chiffres, mon option A devient le 2e, que je viens choisir, donc 10, moins 12 ici… Ça fait moins 2 000, cette fois-ci, OK ? Donc là, j’ai bien un coût d’opportunité de 2 000 euros annuels, ou en tout cas la 1re année. On peut le calculer sur plusieurs années, sur la 1re, ça va dépendre de l’horizon d’investissement. Est-ce que je vais modifier l’immeuble, etc. ? Ça n’est qu’une metrix. J’ai un coût d’opportunité bien réel de 2 000 euros à choisir l’option du 2e immeuble, OK ? Donc la notion de coût d’opportunité permet de mettre un coût ou alors une rentrée d’argent, éventuellement, en face d’un choix. Tout simplement. Je pourrais te faire un 2e exemple avec un… En plus, j’ai souvent la question.

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Avec un étudiant, OK ? Un étudiant. Il hésite. Il a, admettons, fait son master 1, et il hésite à continuer en master 2. Je sais plus combien y a d’années entre les 2, je crois que c’est 2 ans de plus, un master 2. Désolé, tu sais que les études, ça n’a pas trop été mon truc. Comme quoi, ça peut marcher quand même. Admettons qu’y ait 2 ans entre les 2, tu me corrigeras en commentaire. Donc cet étudiant-là se demande… Voilà… J’ai 2 choix. Soit je vais en master 2 et je me tape 2 ans d’études et je sors potentiellement avec un salaire à 4 000 euros si je trouve du travail, ou on vient de me proposer… 2e choix, on vient de me proposer un travail qui ne me rapporterait que 2 500, mais par contre, il est sûr, j’ai un CDI, le mec est prêt à signer, la boîte m’intéresse, etc. Donc je me pose vraiment des questions entre les 2. On peut très bien calculer le coût d’opportunité. 2 ans… OK, c’est parti. Donc par an, là, ça me rapporte quoi ? Ça me rapporte 20… 30 000. OK ? Boum, 30 000 euros. 2 ans, 60 000 euros. Là, j’ai 60 000 euros de salaire dans la balance, 60 000 moins 0, bah, moins 60. Donc j’ai 60 000 euros de coût d’opportunité soit positif, plus 60, soit négatif, moins 60, selon si je choisis « je travaille » ou « je continue mes études ».

Après, la question, c’est de se dire… Je pourrais calculer un 2e coût d’opportunité dans 2 ans, me dire : quelle est la différence ? etc. Donc ça permet de chiffrer très rapidement quelque chose qui peut se passer. Et, encore une fois, ce n’est pas le seul critère puisqu’une fois que je sais que ça va me coûter, finalement, si je choisis de continuer mes études, 60 000 euros, je peux continuer à tirer la pelote de laine. Je peux bien dire : « Ces 60 000… » Admettons que je choisisse le côté pas d’études 60 000, bah, 60 000, allons-y, je vais faire quoi avec ? Je vais enlever mes coûts de vie, tout ce que je dois payer si j’ai des crédits, etc., mon loyer, tout ce que tu veux. Il va me rester un X. Ce X-là, je n’en sais rien, moi, c’est le début de mon parcours, je vais me restreindre, vivre en dessous de mes moyens, mettre de l’argent de côté, il va me rester 35. OK, sur ces 35, boum, règle des 10 %, etc. Je peux tirer la pelote de laine, comme ça, et vraiment mettre par A + B, là, pour le coup, mathématiquement dans un tableau combien ça peut me rapporter. Mais si je fais ça, je n’ai pas que le cash qui entre en compte, j’ai aussi la capacité d’endettement, Je vais peut-être pouvoir m’endetter, faire de l’immobilier, etc., mais par contre, est-ce que mon travail me le permet, blablabla… On ne va pas trop dériver parce qu’on devait parler voitures.

Je veux juste que tu comprennes bien le coût d’opportunité et que c’est un élément de décision. Maintenant qu’on l’a compris, je pourrais faire un 3e exemple. Celui de la voiture, par exemple, OK ? Bah, entre acheter une voiture à, je ne sais pas, 20 000, versus acheter une poubelle, ce que j’appelle une poubelle, à 5 000, on a un coût d’opportunité de 15 000. OK ? Alors… Parenthèse. Dans la vidéo précédente, j’ai dit, rappelle-toi, les critères pour acheter une voiture, c’est quoi ? Pour la payer cash, c’est quoi ? C’est qu’elle représente moins de 2 % de ton patrimoine et viser 1 %. Sinon, poubelle. Donc là, y a 2 choses qui ont fait se hérisser les poils des gens sur la tête, pas les miens, c’est : « Mais alors c’est super dur d’avoir une belle voiture. « Ça veut dire que si t’as un patrimoine de 5 millions, « t’as une voiture qu’à 50 000 ou éventuellement à 100 000 « avec les 2 %, etc., mais c’est super dur. » Eh oui, c’est super dur, mais le but, c’est quoi, là ? Le but, c’est de faire des sacrifices maintenant pour arriver à quelque chose plus tard.

T’es pas sur la chaîne Villas de rêve et immobilier magique ou Jets privés et drop shipping. On est là pour se dire les vrais trucs. Et ce qu’il faut comprendre sur ce 1er point, c’est que, moi, je vois ça comme une… Comme un crochet, comme ça, OK ? Ce crochet-là, c’est ton cadre, OK ? C’est ton cadre de vie, c’est ton cadre de finances. C’est ce que tu es prêt à faire comme sacrifices, comme… Comme évolution financière, comme team rentabilisation. Y a des gens qui arrivent à rester dans ce cadre. On pourrait mettre un cadre, pas forcément un crochet. Y a des gens qui arrivent à y rester. Là-dedans, on a tous les critères, les fameux 1 % pour la voiture, maximum 2 %, les fameux 30 % maximum pour le loyer… Enfin, pour le coût de vie, visez plutôt 10 ou 15. Les fameux plus de 50 % de côté en investissements, visez 80. Ah oui, tout ça, c’est dur, OK ? Mais y en a qui arrivent bien à rester dedans. Et ce sont ces gens-là qui auront du succès financier. C’est aussi simple que ça. Les gens qui sortent dès le début… Je te refais un autre cadre. « Ah, mais moi, avoir une poubelle à 5 000 euros, « ça m'emmerde, je préfère avoir une BM, « et avoir un loyer moins de 30 % de mes rentrées d’argent, « c’est dur, je suis à 40, mais ce n’est pas grave, etc. « Donc je suis hors du cadre. Je suis à 40, ce n’est pas grave. » T’es hors du cadre déjà dès le début. T’as même pas commencé, tu rêves d’arriver à quelque chose… Moi, je m’en fous, mais là, on est sur une chaîne finances, développement de patrimoine, je te donne les bonnes pratiques. Tu les suis ou pas, ça ne me change rien. Encore une fois, c’est toi en face de toi et c’est ton présent toi qui fais un cadeau à ton futur toi. Ça fonctionne comme ça.

Tu connais la boule de neige des intérêts composés, etc. Donc comme tu veux, mais se voiler la face, se dire : « Ce n’est pas grave ce critère-là, ce critère-là »… À force d’être hors du cadre, tu t’exposes à une seule chose. C’est à avoir besoin… du rêve. À avoir besoin, justement, d’Immobilier magique et Lamborghini ou Drop shipping et jets privés. C’est-à-dire que tu vas avoir besoin, étant donné que tu n’y arriveras pas par A + B, avec les trucs mathématiques de base, les bonnes règles de gestion, d’investissement, etc. Tu vas chercher des accidents qui n’arrivent jamais. Tu vas chercher du X, à t’exposer plus, tu vas chercher plus de risques ou de la baguette magique, « Être riche en 2 minutes » parce que ça te fait rêver, etc. Parce que de base tu ne peux pas rester dans les critères. Tu vas devoir chercher des trucs qui n’existent pas, des trucs de charlatan. Donc comprends que ça demande des sacrifices. Pour le coup, Tata Rachel a raison, si c’était facile, tout le monde le ferait, bah oui, non, ce n’est pas facile. Mais ce n’est pas impossible.

Donc comprendre qu’il faut rester dans le cadre et que c’est des sacrifices. Donc oui, les 1 % de voiture sur le patrimoine, c’est dur. Oui, il faut être riche pour avoir une belle voiture. Point barre. Tu peux acheter une belle voiture avant, on peut tous. Concession, machin, 80 000 euros, voiture. Prêt, je paie des mensualités de malade par rapport à mon style de vie, etc., et puis t’auras une belle voiture, tu auras l’air riche, tu seras dans la pyramide que j’ai faite l’autre fois des niveaux de richesse, tu seras au niveau petit riche à vivre au-dessus de tes moyens. Et je reçois souvent des messages, j’en ai reçu un encore récemment, qui me trouent le cul, un peu, pour parler franchement, de gens qui me disent :  » Yann, je gagne 5 000, je gagne 6 000, « 8 000, 100 000, 150 000, 200 000 par an, « et, en effet, je suis bloqué à ce stade, « à vivre au-dessus de mes moyens ou à investir. » Mais quand tu gagnes plus de 10 000 euros par mois, que tu mets de côté, enfin, « investir », « mettre de côté », même chose pour moi.

Tu connais l’histoire, on ne fait pas du livret A. Tu gagnes plus de 10 000 et t’investis 2 000 par mois, y a un problème. Y a un vrai souci, y a un gros souci. Donc t’as la chance d’avoir un revenu important, mais putain, c’est maintenant ! T’as un gros A. C’est exactement ce qu’il faut, un gros A. Vas-y. Donc 1re chose : sacrifices, etc., etc., OK ? C’est comme à la salle de sport. Un exemple pour les sportifs, parce qu’y en a beaucoup qui regardent cette chaîne. À la salle de sport, t’as toujours un mec ou une nana qui marche sur le tapis ou qui fait de l’elliptique à 2 à l’heure, comme ça. « Qu’est-ce tu fais ? » « De l’elliptique, du cardio. » « Combien de temps ? » « Bah, 1 heure 30. » Et à la fin, tu vois, sur son truc, t’as marqué « 400 calories », un truc ridicule et t’as passé une heure et demie… Ça se voit physiquement que t’es pas en train d’en chier.

Tu ne fais pas les sacrifices pour avoir les résultats, ça ne peut pas fonctionner. Toi, tu fais ta séance, du fractionné, boum, en 20 minutes, t’as cramé le double de calories parce que t’as fait le sacrifice, t’es monté sur la machine, tu t’es sorti les doigts. C’est exactement la même idée avec ta gestion financière. Tu te sors un peu les doigts… Oui, au début, c’est dur.

Donc 1re chose : l’histoire des 1 %, etc. OK ? On va venir après sur le crédit. Je ne parle pas de crédit, encore. Ensuite, y avait une 2e chose. La notion de poubelle. Je voudrais redéfinir la poubelle. Quand je dis d’acheter une poubelle, je ne dis pas « une voiture de 1962 sans airbags ni ceintures », mais « une voiture pas chère ». Tu achètes une voiture intelligente, Team rentable, un truc à 3 000, 2 500… Allez, 5 000 grand maximum. On m’a dit en commentaires : « J’ai 3 enfants, la sécurité… », mon cul ! T’as des Scénic qui coûtent que dalle, des C4, des C5, des grosses BM, les vieilles Serie 5, etc., qui sont 5 étoiles crashtest, machin, qui sont super sécure, mais qui juste valent pas cher parce qu’elles sont de 2008, 2010, 2011, 2013, 2009 et qu’elles ont 150 000 bornes. C’est increvable et ça marche. « Mais faudra faire une distribution ! » Opportunity cost, vaut mieux faire une distribution sur une voiture à 3 000, une distribution à 800 balles, que d’acheter ta voiture à 25 000 qui te fait plaisir parce qu’elle est sécuritaire alors que non, bullshit.

Encore une fois, c’est toi en face de toi-même. Donc c’était les 2 critères qui portaient peut-être à confusion, la notion de poubelle et de rester dans ce carré-là. Ensuite, y avait 2 choses. Y avait 2 autres choses. Je vais encore te mettre 2 autres points. Le 1er, c’était des gens qui me disaient : « Mais Yann, « tu nous disais aussi dans l’autre vidéo sur la voiture ‘il est possible de faire un crédit…' » Je parlais même de location, tout ce qui est LDD, LOA, etc. Et vu que je disais ça dans la vidéo, mais que je disais : « Si tu restes dans les critères », des gens ont dit… Ont peut-être pas compris… « Mais Yann, tu disais : ‘Ne pas faire de crédit pour du passif’, « nous, on applique. » Vous avez raison, les enfants, mais… Tonton Yann, il n’a pas changé d’avis. Ce que j’explique, c’est que si tu es dans les critères, les 1 %, les 2 %, il est peut-être plus intelligent, là, pour le coup, pour une notion d’opportunity cost, de pas envoyer du cash mais de faire un crédit. Je t’explique pourquoi. Autant quand t’es dans le cas 1, on va dire que t’es au-dessus des 1 %, des 2 %, t’es à l’étape poubelle, etc., faire un crédit pour acheter ta voiture, c’est débile parce que tu t’endettes pour acheter du passif, tu réduis ta capacité d’endettement, donc c’est nul. Il ne faut pas le faire, ce n’est pas bien, on enferme. Hop, on jette à la Seine, on brûle, on met le feu, OK ? Par contre, quand tu es dans les critères, la voiture représente moins de 1 % de ton patrimoine. T’as potentiellement un patrimoine qui commence à être un peu significatif, OK ? Ça commence à se mettre en place.

Maintenant, on va calculer un opportunity cost. Tu as une capacité d’endettement pas dégueulasse puisque si t’achètes une voiture à moins de 1 % de ton patrimoine et que tu veux la financer à crédit, donc pas une poubelle, ça veut dire que t’as un patrimoine pas dégueulasse. 1 %, forcément, mécaniquement, ça veut dire que. T’as une capacité d’endettement qui est plus un problème, ou, en tout cas, beaucoup moins. Tu as peut-être accès à des montages plus compliqués, tu as peut-être déjà mis en place les notions de holding patrimonial. T’as peut-être accès à la banque privée, avec des facilités plus intéressantes, des crédits lombards… Donc ta capacité d’endettement n’est plus trop un problème. Par contre, ton cash, ici, est extrêmement important. Et, par exemple, étant donné que t’es plus à l’aise, tu peux peut-être viser… Partons sur un mec qui aurait 5 millions de patrimoine. Il a droit à une voiture entre 50 et 100 000, on va dire. Hein, OK ? Admettons qu’il trouve un truc, jeune occasion, il est un peu malin, à 80 000. 80 000 en jeune occasion, c’est déjà des voitures cool.

Maintenant, y a 2 choix. Calculons l’opportunity cost. Choix 1 : je paie cash. J’ai tout à fait les moyens, et j’ai encore de l’argent de côté après, etc. Choix 2 : je m’endette pour acheter cette voiture et je préserve mon cash. Admettons que je fasse un apport minimum de 5 000 et qu’il me reste 75 qui sont préservés. Donc j’ai un opportunity cost positif, pour le coup, à 75 000 euros. Avec des mensualités qui ne sont pas déconnantes puisqu’à partir du moment où je reste dans ce critère-là, je sais que c’est bon. Il est simple, ce critère, parce que si je reste dedans, ça veut dire que sur mon patrimoine, c’est une part faible, donc les mensualités seront comestibles, digérables, etc. Par contre, là… cet opportunity cost d’injecter ce cash et de le perdre est plus important que de le garder. Parce que règle des 10 %, etc., etc. Et théoriquement, en plus, quand t’es à ces niveaux un peu plus importants de patrimoine, t’as déjà mis en place les sources de revenus, t’as déjà un compte-titre, du trading, etc. Tu fais du private, blabla… Donc ces 75 000… Si c’est moi, c’est simple, je ne réfléchis pas 1 seconde. Là, 75 000, boom, marchés financiers, portefeuille long terme, RLT, terminé. 7 500 euros, argent gratuit tous les ans. Donc tu vois ce que je veux dire ?

Je ne suis pas en train de te dire de financer du passif à crédit ni d’acheter une poubelle dangereuse pour tes enfants, mais de prendre toutes les notions en compte, d’opportunity cost, etc. Bien sûr, les notions de base, c’est de rester dans les critères de base, de pas acheter trop gros par rapport à sa vie, etc., mais si tu rentres dans ces critères et que tu veux te faire plaisir enfin, tu t’es sacrifié, là, continue à être intelligent. Je vois trop de gens qui ont le syndrome du loto. On l’a vu l’autre fois et on le reverra avec le bull run des cryptos, des gens qui sont sortis avec 100, 200, 500, 1 million, 1,5 million avec les cryptos. Des gens qui ont eu de la chance, syndrome du loto. Combien j’ai vu de mecs sortis de nulle part arriver, réseaux sociaux, bam-bam, Lamborghini, etc. ? Mais j’ai envie de rigoler. Non, les gars ! Ne faites pas ça, c’est le dernier truc à faire. T’as entré 1,5 million, tu claques une voiture à 400 000 balles, tu la paies cash, etc., mais c’est débile ! Ne faites pas ça ! C’est idiot. Achète ta voiture à 400 000 balles si elle entre dans les critères, etc., etc. OK ? Donc tout simplement, c’était vraiment ce que je voulais remettre en perspective.

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